-
Voila la sanction tombe, Ca y est j'ai pris perpette.
Ca fait L'Effet d'une bombe,Mettant mon corps en miette.
Coincé Entre quatre murs, L'étau me sert la tête.
Prendre de face un coup dur,D'un coup la vie s'arrête.
Dans une Prison a vie, Il reste juste les souvenirs,
Mais Si je reste ici,Je peux craindre le pire.
J'étais Chair de sa chair, J'ai pris ma double peine.
Tant que Peur et misère,Loin loin La mort t'emmène.
Dehors des cellules froides, Les matons sont glacés
Je deviens vite nomade,Dans mon six mètre carré.
Mutilé de chaleur, Très vite le cœur s'éteint.
Je sens Juste ma douleur,Refrain de mon destin.
Maintenant T'es partie, Mon sort est carcéral
Par contre Si je t'oublie,Mon issue est fatale.
Nous pourrions discuter, S'il y avait un parloir
La Vitre est noir teintée,je peux même pas te voir.
Je voudrais tant tuer Cette horrible maladie,
Pour ainsi l'expédier,Très Loin du paradis.
Te protéger Je n'ai pas su,La preuve en est elle nous a eut.
Ma double peine je suis perdu,Je perds ma reine je perds la vue.
Je suis ce jour, le prisonnierDe cet amour, qu'est mon geôlier
Braqué traqué par mon passéJe suis lié a ta pensé.
Perpétuité, peine idéalePour ceux qui t'aiment et t'ont aimé
Ta perte était, peine immoraleCar ceux qui t'aiment sont prisonniers.
Pas de conditionnel ou récidive possible
La chute est l'éternelle le mitard est la cible.
On peut devenir fou, l'exil est une option
Sachez le au cas où, vous êtes proche d'une prison.
Gardez pourtant en tête;Tous suivront ce chemin
La vie doucement s'émiette;La mort en est le point.
1 commentaire -
Le mal nous colle à la peau
Comme une ombre en plein cagnard
Grillé par cette ombre ce noir halo Tricards,
Coupables tels des taulards
Changer les mentalités des gens bornés
Pour Jim et sa click mission impossible
L’égalité ce concept est donc mort né
Les doigts sont chargés nous prennent pour cible.
Sortir du lot se distinguer
Comme dans le ciel l’étoile filante
Tellement à part que tu t’fais draguer
Par cette réussite insolente.
Croire en soi et se connaitre
C’est la première chose à faire
Afin de se surpasser et de renaitre
Blindé, armé d’une volonté de fer.
Ne critique pas autrui mais reste attentif
A ses gestes de mépris et ses vociférations
De ta maitrise et ton humilité il sera craintif
Et ses faiblesses facilement se dévoileront.
votre commentaire -
Le long fleuve de la vie
Ne sera jamais tranquille
Est maintenant tari
Le lieu devient hostile.
Brulé par le désir
Calciné par la foi
Les anges prennent du plaisir
Dans la fournaise d’en bas
A essayer de plaire
Le luxe les a conquis
A coup de billets verts
Ont détruit le paradis
L’amour ne s’achète pas
Se donne au plus offrant
Le cœur des hommes une banque
Dont personnes n’est garant
A force d’en vouloir plus
On n’en a jamais assez
Même le juste ce qu’il faut
Est déjà dépassé
Connaître ses limites
Est fait pour s’arrêter
Mais la vie est une suite
De tant d’obstacles passés
votre commentaire -
La vie appartient on dit, à ceux qui se lèvent tôt
Les braves gens l’on comprit, ce ne sont que des mots.
Les maux du cœur sont ceux qui ne cicatrisent pas
Honnêtes et miséreux on ne les entend pas.
Je vous parle du quotidien des darons à moustache
L’histoire qui finit bien celle là on la leur cache
La sueur de leur front remplirait des océans
Pour ça on leur fait don d’une bouffe une fois par an.
Les mots ne sont pas durs, c’est juste comme je vous dis
Ils n’ont pas le futur qu’on leur avait promis.
Taf pendant quarante ans Repos bien mérité
Mains d’béton de ciment L’amiante ça il connait
Pas d’arrêt maladie, ça ne paie pas les factures
En plus pour la famille, il faut bien qu’il assure
Un contrat d’intérim c’est toujours bon à prendre
Tu gagnes pt’ être 10 centimes au moins le pain est tendre
Le gaulois est d’humeur à se moquer de lui
Là bas est ta demeure, tu attends quoi vas y
Insultes provocation La belle patrie l’accueil
Ici est ma maison mais je doute qu’elle le veuille.
Ce sont bien ses larmes qui coulent de mon stylo
Ainsi de cette encre sont inspirés mes mots
Sa seule richesse est l’amour de ses enfants
Qui essaient de lui rendre tant qu’il est vivant.
Une reconnaissance à sa juste valeur
C’est pour ça je pense que je lui livre mon cœur
A tous les sacrifices que tu as faits pour nous
Ces quelques mots je glisse pour t’élever au dessus de tout.
votre commentaire -
Levé avant l'aube, avant le chant du coq
Paupières encore lourdes, sortie d'un sommeil en toc.
Mécanismes conditionnés, ou instinct de survie
Que fait que cet homme tient, et qu'en plus il sourit.
Armé d'un bon café pour passer le cap,
Cherche quelques affaires ainsi que ses Sappes
Fait le plein de courage pour aller au front
Dégaine ses clés, frappe cette bagnole Qui en perd ses boulons.
Il s'en va au combat, contre la misère.
Ici le chômage fait foi, fils de la galère.
Tient bon petit soldat, la guerre va bien finir.
Un jour t'en finira les poches pleines de souvenirs.
C'est à dire pleines d'illusions et d'histoires à raconter
Qui feront que demain fiston saura ce qu'est trimer.
Les moissons durent (les mois sont durs), le blé se fauche
L'hiver perdure, des gerssures dans les poches.
Les uns, pauvres, cumulent les dettes (les impôts cumulent les dettes)
Les autres raquent en ces temps de disette.
Pas loin du cliché, métro boulot Dodo
Le travail c'est la santé, mais faut pas en faire trop.
Gardez un peu de temps pour vous et pour respirer.
L'argent, le vent mauvais, qui ne fait que vous étouffer.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires